top of page
Un ensemble soucieux de l’environnement

Et pour cause. Diabolus n’est pas énergivore ! Pas de micro ni de projections sonores ou visuelles et encore moins d’effets spéciaux, nos musiciens se déplacent en transport en commun, avec leur voix ou leurs instruments anciens. Les besoins en moyens techniques sur les contrats de cession sont limités à leurs plus simples expressions : de l’eau, des tabourets et une lumière suffisante.

L’ensemble Diabolus in Musica est sensible à la question environnementale dans l’impact de ses activités. La structure Diabolus in Musica est membre de l’association ARVIVA (Arts Vivants, Arts Durables) qui regroupe des acteurs du monde du spectacle pour interroger les pratiques des métiers du spectacle afin d’améliorer leur impact sur l’environnement, et de les changer pour transformer nos modèles.

MDE_6275 copie.jpg
bicycle-788733_1280.jpg

Pour les transports, les salariés permanents se déplacent à vélo ou en bus sur leur lieu de travail, et le télétravail est pratiqué dès que cela est possible. Pour les artistes, le train est le moyen de transport le plus largement utilisé. Les lieux de répétitions sont choisis de manière à minimiser au maximum les transports, à savoir au plus proche de la majorité des artistes employés sur chaque projet. Désormais l’avion n’est utilisé que pour un seul projet international par an. Ce projet international annuel ne se résume pas à un seul concert mais plusieurs, et s’enrichit d’actions culturelles pour bonifier cet unique voyage.

L’adoption de principes écologiques fait sens à Diabolus in Musica : tri des déchets au bureau, achat de gourdes pour chaque artiste avec refus de bouteilles plastiques dans les projets, feuilles de routes des projets mentionnant des petits gestes responsables et des adresses proches de chaque lieu de travail.

bottom of page